On a appris cette semaine qu’il n’y aurait presque pas de fumier, au mieux moitié moins que ce qu’on peut se fournir habituellement c’est à dire 2 fois moins que nos besoins.
Si j’ai bien compris les photos, c’est que à cause du beau temps de cette hiver, les vaches ont été beaucoup plus longtemps dehors, donc pas de stabu, donc moins de fumier . Pour les vaches c’est plutot positif, mais c’est sur que pour vous… D’ou l’importance d’assurer son indépendance sur les intrants, et j’ai beaucoup appris sur les compost végétaux grace à elliot coleman (à lire : the new organic grower). Et même si je ne suis pas encore autonome sur ces apport, je m’en rapproche, notamment en diminuant les besoins. Pour ça j’ai supprimer (sur les 3/4 de ma surface) le travail du sol, donc + de vie, moins de minéralisation, + de stabilité, + de diponibilité, – de mécanisation, + de travail manuel (mais pas tant que ça, car en travaillant à la main on peut densifier les plantation, donc moins de surface à s’occuper) etc,
Enfin, je ne peux pas résumer son livre ici, mais il m’a beaucoup inspiré. 🙂
Jérôme Boisneau (Apiculteur et maraicher bio)
merci pour ce commentaire. Oui c’est excatement ça.
Et oui je connais les principes des composts végétaux et le livre dont vous parlez. Mais selon moi ça revient à peu près au même que le fumier pour ce qui concerne la disponibilité de la ressource : moins de vache (ou moins de stabul) > moins de fumier dispo
utilisation par les agriculteurs du compost végétal (les préconisation en quantité étant qui plus est énormes voir problématique en terme écologique selon les sources de conseil) à la place du fumier > problème de disponibilité par le simple fait de la concurrence, sauf à broyer toutes les haies alentours.
Je pense bien sûr qu’on peut utiliser les deux (dans les limites de l’écologie) mais autant que possible selon la dispo locale. Et en concertation avec ses voisins agriculteurs : il n’est pas question par exemple qu’une seule exploitation récupère toute le compost végétal disponible.
C’est vraiment compliqué c’est histoires d’intrant quel qu’ils soient. Et ça peut devenir très vite limitant.
Si j’ai bien compris les photos, c’est que à cause du beau temps de cette hiver, les vaches ont été beaucoup plus longtemps dehors, donc pas de stabu, donc moins de fumier . Pour les vaches c’est plutot positif, mais c’est sur que pour vous… D’ou l’importance d’assurer son indépendance sur les intrants, et j’ai beaucoup appris sur les compost végétaux grace à elliot coleman (à lire : the new organic grower). Et même si je ne suis pas encore autonome sur ces apport, je m’en rapproche, notamment en diminuant les besoins. Pour ça j’ai supprimer (sur les 3/4 de ma surface) le travail du sol, donc + de vie, moins de minéralisation, + de stabilité, + de diponibilité, – de mécanisation, + de travail manuel (mais pas tant que ça, car en travaillant à la main on peut densifier les plantation, donc moins de surface à s’occuper) etc,
Enfin, je ne peux pas résumer son livre ici, mais il m’a beaucoup inspiré. 🙂
Jérôme Boisneau (Apiculteur et maraicher bio)
Bonjour Jérôme
merci pour ce commentaire. Oui c’est excatement ça.
Et oui je connais les principes des composts végétaux et le livre dont vous parlez. Mais selon moi ça revient à peu près au même que le fumier pour ce qui concerne la disponibilité de la ressource : moins de vache (ou moins de stabul) > moins de fumier dispo
utilisation par les agriculteurs du compost végétal (les préconisation en quantité étant qui plus est énormes voir problématique en terme écologique selon les sources de conseil) à la place du fumier > problème de disponibilité par le simple fait de la concurrence, sauf à broyer toutes les haies alentours.
Je pense bien sûr qu’on peut utiliser les deux (dans les limites de l’écologie) mais autant que possible selon la dispo locale. Et en concertation avec ses voisins agriculteurs : il n’est pas question par exemple qu’une seule exploitation récupère toute le compost végétal disponible.
C’est vraiment compliqué c’est histoires d’intrant quel qu’ils soient. Et ça peut devenir très vite limitant.